Eau Mohéli
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 16 heures
Great but I’m not into insecure Beta men with a Trump’s fellatio syndrome
il y a 23 heures
Inutile de jouer les victimes Donnie. La petite pique sur le flaconnage non genré et écolo qui(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Tout à fait d’accord avec vous, Opium, les séries, surtout simultanées, réussissent rarement leur coup ! C’est la loi des séries ;-) Les trois dernières colognes de chez Goutal ne font pas exception : jolies mais pas totalement emballantes (Les Orientalistes avaient un peu plus de gueule). Je me rappelle quelques séries plutôt ratées : Les Miroirs Mugler, les Actrices chez Grès, les Récoltes millésimées de chez Givenchy, Van Cleef et même de l’Artisan. Curieusement, les séries sortent toujours par trois, voire quatre. On aimerait parfois un beau duo, un duo de choc ! Je crois plus en la construction intelligente et mûrement réfléchie, d’une série année par année, nous imposant, nous offrant pardon, chaque fois un beau rendez-vous (Chanel et Cartier en sont les plus beaux exemples) plutôt que le lancement hyper commercial d’un big splash trois ou quatre dimensions ! Mais cela marche ; un fleuriste près de chez moi vend quelques parfums Rosine, ne propose que trois créations différentes : La Rose de Rosine, Rose pour Homme et Rose Kashemirie, ou quelque chose dans le genre. Et ça marche ! Le fleuriste me précise que la présentation de 8 ou 10 senteurs différentes font que le client les sent toutes, les mélange rapidement dans son souvenir et sort de la boutique les mains vides. Devant trois flacons, on n’hésite pas : " Ah oui ! celui-ci me plaît bcp plus que les autres ". Et on achète. Autre chose est le lancement d’une marque avec trois, quatre ou cinq compositions différentes ( Olfactive Studio avec ses 3 premiers parfums ou Neela Vermeire que j’évoquais le 22 octobre dans un avis rubriqué Effluves Influents.