Champs-Élysées
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bravo pour cette jolie critique "honnête" qui remet le parfum à sa place.
Oui, Champs-Elysées n’est pas une merveille à porter au pinacle comme certains anciens Guerlain. Et alors ? C’est juste un très joli parfum, plein de charme. Quelque chose d’un peu plus léger. ça ne le rend pas moi attachant, au contraire... De même qu’une bluette pop nous fait fondre, Champs-Elysée peut nous enchanter. Parce qu’il est lumineux, nous nous rejoignons là-dessus, et parce qu’il est gracieux sans se prendre pour ce qu’il n’est pas, il sait faire voir la vie en rose. Et si on va le sentir sans idée préconçue, j’ai du mal à concevoir qu’on ne l’aime pas. Il me fait penser à Audrey Hepburn : pas une grande actrice dramatique pleine d’intensité mais ... c’est juste impossible de voir son visage à l’écran sans l’aimer.
(Oui, dans ce commentaire, je fais un peu midinette, mais c’est à la midinette en moi que Champs-Elysée parle.)