Les parfums de la honte
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
hier
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Re-Bonsoir Lolo.
Je suis tout à fait d’accord avec vous.
Mais, vos parfums de "débutante", effectivement, s’en sortent, malgré tout, plutôt bien. Autre époque, autres goûts...
"Les parfums de la honte seraient plutôt les horribles sorties glucosées actuelles...Ces notes de tête envahissantes et sans évolution : ça explose dans le nez et puis plus rien..."
=> Tout à fait le problème actuel : une tête qu’on doit détecter, qui doit permettre de se choisir son parfum en 2.7 secondes (Pourquoi 2.7 ? Je ne sais pas, mais, 3 secondes, c’est déjà trop long...), puis un effondrement dans des muscs - boisés ambrés - patchoulis éviscérés d’une banalité qui incite, non pas aux céphalées contagieuses, mais juste à un ennui presque mortel !
Mais, parfois, c’est une bonne nouvelle : si seulement LVEM pouvait s’effondrer en 3-5 minutes. Si seulement... ^^
Encore bonne soirée.
Opium