Ambre Sultan
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonsoir Opium,
Si, si, bravo à vous pour le texte de ce parfum. Et on stoppe là les autostisfactions. J’étais content (pas de moi, je blaguais, mais simplement content) parce que ce parfum sur touche m’avais parlé clairement et facilement. Et cela m’arrive peu souvent (en néophyte, c’est normal). Sans doute que plus tard, d’autres aspects m’en seront dévoilés.
Une seule chose me manquait pour boucler la chose d’Ambre sultan, le substatntif-adjectif sultan. Russe, je comprends (Baltique, ambre minéral, cachalots et baleines des mers froides...même si ils n’ont rien ou plus rien à voir avec la note ambre actuelle en parfumerie, le rapport imagé y était), mais sultan, rien. Alors en regardant des photos d’Istanbul et en ayant en tête les images d’herbes qui brulent, des fumées, une photo m’a fait tilt : celle d’une salle du harem du palais de Topkapi avec un immense brasero au milieu. Là je l’ai vu mon sultan : debout, se réchauffant aux volutes parfumées des braises de racines de ciste et de plantes aromatiques, il jette par desoeuvrement, de temps en temps, des morceaux d’ambre précieux et animal dans les baises, parce qu’il en a les moyens, et que rien n’est trop beau pour son plaisir et celui de celle qu’il vient de choisir.
À chaque fois que je sentirai ce parfum de Lutens, c’est cette image là que je verrai...pour mon plus grand plaisir olfactif et visuel à moi.
Bonne soirée, très cordialement
ERIC