Une Voix Noire - Serge Lutens
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonsoir Jean-David.
Je profite de tes remerciements dès maintenant. Je préfère ne pas attendre, "dans l’espoir non dissimulé" que tu aies achevé ta "lecture avant la fin de l’année". ;-)
Viens raconter ce que tu auras pensé de la fin de ta lecture.
Je n’avais pas été aussi inspiré par une nouveauté de la gamme Serge Lutens depuis longtemps. Je sais que cette diva jazzy-techno futuro-rétro va exaspérer et insupporter pas mal de son auditoire. Moi, je suis sous le charme.
Merci pour tes charmants compliments quant à mon style "particulier".
Je ne parviens pas à être précis en étant bref, ce qui est le talent, que j’admire, d’autres. Et, je n’apprécie que peu les propos liminaires et expéditifs. Quant aux tweets, si j’admire la tournure de certains d’entre-eux, tu imagines comme j’apprécie (peu) ce mode de communication, très actuel pourtant. J’admire parfois, sans que cela me touche vraiment. Tout comme les seuls "j’aime", "j’aime pas" ne sont pas un mode de pensée qui me parle vraiment. ;-)
Bonne poursuite de lecture. J’espère que tu auras envie de poursuivre en écoutant cette grosse voix épaisse un peu éraillée (très fruitée).
Bonne soirée.
Opium