Hypnotic Poison
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 22 heures
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Il est indéniable que ce parfum possède une signature qui lui est propre.
Malheureusement je trouve l’odeur d’amande trop présente et écoeurante, elle se noie dans des senteurs lactées qui ne s’adoucissent pas mais restent trop présentes.
Voilà pour moi le principal défaut de Hypnotic Poison : la lourdeur.
Alors qu’un Shalimar est loin d’être discret, on a cependant l’impression que l’overdose de vanille est contrebalancée par la fraicheur des notes de tête, la bergamote entre autres. Là où Shalimar est un parfum puissant et envoûtant, tout en restant digeste et hautement attrayant (ce parfum rend mon homme fou ! ) je n’en dirai pas autant de ce Dior qui a clairement voulu jouer dans la même cour que l’illustre Guerlain.
Certes Hypnotic Poison est un parfum de caractère, facilement identifiable (voilà ses atouts) mais pour moi trop monolithique, qui manque de finesse, et qui fait qu’au final, au lieu d’avoir envie de le sniffer encore et encore, eh bien on s’en détourne, les narines saturées d’une odeur d’amande lancinante.