Du parfum... à écouter
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Après une (trop) longue absence, le livre de référence sur l'industrie du parfum est de nouveau disponible !
il y a 7 heures
Merci pour votre réponse ….non pas de numéro il y avait un numéro en noir mais il s’est(…)
hier
Bonjour, J’ai une moitié de flacon de 50 que je propose à l’échange contre parfum équivalent (en(…)
il y a 3 jours
Bonjour, Je viens d’acquérir les deux derniers flacons disponibles sur le site américain,(…)
Intime conviction
Chaud-froid épicé
Rayons de miel
C’est sûr, on en apprend toujours en écoutant Jean-Claude Ellena ; mais le côté frustrant, c’est que l’on aurait pu apprendre tellement plus et tellement mieux. Y compris de la part de Mme Nagel, qui a des choses à dire. Mais l’accouchement que constitue toute interview dépend de l’accoucheur. Il faut s’intéresser au sujet un peu plus d’une heure ou d’un jour avant le direct, avoir un peu de champ, une culture qui permette de converser réellement avec ses invités, plutôt que de faire étalage d’une curiosité trop vite satisfaite. Cette journaliste n’est pas une sotte, mais elle ne se distingue pas de la superficialité générale, et c’est ce qu’on peut lui reprocher. Quand on prétend interroger quelqu’un comme Ellena, il faudrait un minimum d’intérêt réel pour l’univers du parfum et pour la personnalité du parfumeur invité, son parcours, ses créations, son esthétique...
Et puis cette manière de saupoudrer de musique l’entretien, au bout de quelques minutes de paroles, avec des titres qui n’ont rien à voir, malgré la présence du mot "smell", c’est exaspérant. Nous voulions un entretien, nous avons eu droit à un ameublement sonore pour estivant, mi-blasé mi-curieux, entre les croissants et le jogging.