Le prix du parfum... nous aurait-on trompés ?
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
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il y a 4 heures
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il y a 5 heures
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Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Personnellement le fait que le jus en lui-même ne représente qu’une infime partie du prix d’un parfum ne me choque pas. Ce qui me scandalise c’est cette entente manifeste qui empêche le consommateur de faire un choix en terme de qualité/prix. Pour reprendre votre exemple sur le vin Jeanne, qui est fort pertinent, on sait que le jus ne représente qu’un infime pourcentage du prix de la bouteille, entre le prix du travail, la valeur du terroir, le prestige du domaine (ou château pour le bordelais), l’aspect ou non spéculatif, le millésime, l’appelation, la publicité, le distributeur, la vente en primeur... Cependant en achetant une bouteille, je sais que dans un même village d’Alsace, je trouverai un riesling à 5 € et un autre à 20 €, qu’intraséquement celui à 20 € sera meilleur et aura un plus grand potentiel que celui à 5 €...mais ce n’est pas toujours sûr. Vous pouvez avoir une bonne surprise avec un Bordeaux Supérieur à 6 € et une mauvaise avec un Pauillac à 30. Là, pas d’entente de prix, un chemin semé d’embûches pour le néophyte, mais c’est aussi tout le charme du vignoble français. Qu’en serait-il si du Jura au Languedoc, de la Vallée de la Loire à celle du Rhône, tous les vins se ressemblaient selon les modes (une décenie vanillée, une décénie cerise, une décénie bois de scierie...), tous à 30 € quelque soit le millésime, l’appelation et le terroir, distribués quasi uniquement par un monopole de grandes surfaces ?