Sephora, Marionnaud, Nocibe... et les autres
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 6 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 6 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Les premières conseillères que j’ai rencontré, au Douglas Blatin à Clermont-Ferrand, étaient très charmantes, de très bon conseil, elles connaissaient bien l’univers qui les entourait et ne cherchaient jamais à vendre la dernière nouveauté. J’espère que c’est toujours le cas d’ailleurs, ça fait des années que je n’y suis pas retournée !
J’avais donc de très bon à prioris sur les conseillères beauté et je ne comprenais pas cet acharnement qu’il y a un peu partout.
Depuis que je vis à Paris, je comprends beaucoup mieux.
J’ai effectivement cotoyé quelques vendeuses très peu agréables, pas souriantes mais collantes par contre (peut-être parce qu’il n’y avait pas de vigiles ?) !
J’ai aussi vu une vendeuse conseiller Giorgio à une cliente qui recherchait du fruité léger citronné, pour ensuite me conseiller Miss Dior Chérie alors qu’au départ je m’intéressais à Womanity etc etc.
Je ne sais pas pourquoi Guerlain limite autant ses points de vente, mais si ça a un quelconque rapport avec le fait que le concept du luxe et de la qualité soit autant massacré par ces chaînes, je les comprends.