Parfums de niche
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 4 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Quand je portais Kenzo Jungle, que j’ai dû sentir une seule fois dans ma vie sur quelqu’un d’autre, effectivement je me demandais bien à quoi pouvaient servir les marques de niche, plus chères en général et pas forcément originales (j’avais commencé par Santa Maria Novella aussi !).
Puis j’ai fini par tomber amoureuse de toute la maison Lutens (niche ou pas niche ? j’ai jamais su), je pensais même que je ne changerais jamais de maison.
Puis il y a eu les exclusifs Guerlain, avec beaucoup de parfums pas forcément très originaux mais de très bonne qualité (comparé à beaucoup de lancements mainstreams) et très cohérents.
Ensuite les extraits Guerlains, inégalables sur peau, et puis les Hermessences presque à l’opposé : de vrais chefs d’oeuvre qui se passeraient presque de la peau, l’originalité de Frédéric Malle, l’authenticité d’Annick Goutal (Sables quoi !), le génie de Pierre Guillaume...
Difficile de revenir en arrière.
Maintenant je tente des marques de niches moins connues, pour l’instant je n’ai quasiment que des déceptions. Mais je persiste !