Private Blend
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
hier
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
hier
Dans les années 60, Câline de Jean Patou fût le premier parfum réservé aux jeunes filles. En avance(…)
hier
Bonjour, Pour fêter les 60 d’habit rouge, guerlain a sorti une édition limitée habit rouge(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Depuis que cet article a été écrit, des parfums ont quitté la collection et d’autres l’ont rejointe. Pour ma part, parmi ceux que j’ai testés, certains m’ont déçu : Azure Lime, par son manque d’originalité et son mauvais rapport qualité-prix (pourquoi payer 175 Euros ce qu’Eau de Rochas Homme propose pour 40 ?), et Champaca Absolute, auquel je trouve un côté shampooing à la violette, à mille lieux des notes de cognac et de vanille revendiquées...
En revanche, quelques bonnes surprises : Amber Absolute, il est vrai brut de décoffrage, mais qualitatif, cependant. Tobacco Vanille, qui m’a vraiment séduit avec ses notes de feuilles de tabac, de fruits confits, de fève tonka. Certains le critiquent comme un plagiat d’Ambre Narguilé, que pour ma part je ne connais pas.
Et surtout : Néroli Portofino ! Rarement un parfum m’aura semblé si "évident", et c’est loin d’être une critique de sa facilité. Tout dans ce parfum évoque la spontanéité, la gentillesse, la douceur, mais aussi la sensualité et l’addiction ; j’adhère complètement ! Un néroli extrêmement pur et beau, sur un fond d’ambre. Comme si on donnait du corps à une cologne, là où d’autres comme Thierry Mugler ne m’avaient pas convaincu, soit pour une acidité excessive, soit pour des notes d’aldéhydes qui me gênaient.
Une belle découverte.