YSL ressucite ses classiques
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Je crois que nous ne parlions d’Idylle ni Jean-David, ni moi. Mais effectivement Idylle n’est pas ce qu’on pourrait appeler ma tasse de thé, inutile que je précise le nom de mon Guerlain favori, n’est-ce pas ?
Par contre j’ai une amie (quadra elle-aussi) qui le porte et sur laquelle il n’a rien du parfum de gamine. Elle est très féminine et classe, jamais un cheveux qui dépasse. Il lui va vraiment bien et fait très femme sur elle. C’est son style tout simplement.
Et qu’il plaise ou non, le parfum est quand même bien fait je trouve, l’évolution est splendide et la tenue exemplaire sur elle en tout cas. Et pourtant je ne le porterais pour rien au monde : il ne me correspond pas.
Peut-être suis-je naïve de douter qu’on soit assez stupide pour mordre la main qui nourrit (je sais bien que cela arrive parfois) et qu’on puisse ainsi garder sa crédibilité à long terme.
Cependant, je lis avec attention les critiques bonnes ou mauvaises et les confronte avec ma propre expérimentation pour me faire ma propre opinion. Je pense être ainsi plus lucide que d’autres.
Qu’un bloggeur fasse une critique positive d’Idylle en se gardant bien de le porter peut vouloir dire deux chose : soit il déteste le parfum et à reçu une compensation pour en écrire du bien, soit il trouve le parfum réellement beau mais ne le trouve pas adapté pour lui (à moins qu’il ne vire carrément sur sa peau).
De plus il est parfois difficile d’être à contre courant et d’apprécier quelque chose que la majorité dénigre (que ce dénigrement soit justifié ou non), au risque de passer pour le gentil benêt de service. Dire du mal d’un parfum sur lequel on a écrit positivement peut donc aussi signifier deux choses : soit on est corrompus, soit on veut se fondre dans la masse de ceux qui dise du mal pour avoir l’air intelligent (l’instinct grégaire).
Ne considérer que la première explication parce qu’elle conforte dans ses propres préjugés me paraît faire manque de lucidité, là pour le coup.