Kokorico, le cri de l’homme !
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Un iris majestueux qui se démarque par sa fraîcheur florale et printanière.
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
J’ai du mal, mais alors du mal. Du mal à vous lire parfois enthousiastes et du mal avec ce parfum en général.
Il est réussi en ce sens qu’il illustre parfaitement l’idée qu’on se fait d’un homme avec testostérone, muscles, regard coquin (je ne vois ni sens de la braise) et il est passablement classique et passe partout dans son rendu. Il fleure en revanche un peu trop le chimique mais ce n’est qu’une impression sans réellement de preuves. Appelons cela un ressenti ;0)
Là où je suis triste c’est en fait sur la trop grande adéquation entre ce que je sens et ce que j’imagine pouvoir séduire un large public. C’est pile dans la cible. Trop. Aucune surprise. Aucune originalité. Aucune folie. Juste un bon masculin, complet, classique et bien vert, frais et riche. Pas si sucré, et même pas trop clinquo/vulgaire ou branchaga-tracté.
Le cacao, la vraie bonne idée...Il est manifeste durant une minute lors de la vaporisation mais se fait ensuite trop discret noyé dans le vétiver, les notes hespéridées, la feuille de figue, les bois, le tout étant robuste, très clair, vert et clinquant. Moi qui suis un amateur de chocolat et surtout du sorbet cacao de Berthillon j’en perds ma gourmandise et reste sur ma faim.