Maurice Roucel : « La création est un partage »
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
hier
« 1000 » c’était du vrai haut de gamme ; l’antithèse de la vulgarité. On a perdu Jean Kerléo ou une(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
On est donc bien d’accord. On peut (doit ?) être à la fois pragmatique et sensible.
Quand je recherche un parfum "pour moi", je prends évidemment en compte des critères très pragmatiques et subjectifs (tenue, sillage, évolution sur la peau, goûts personnels...). C’est normal.
Ces critères sont bien sûr différents d’une personne à l’autre (contrairement à toi, je ne suis pas un "gourmand partageur", donc la tenue et le sillage m’intéressent peu), et ils ne sont pas non plus définitifs. Ils peuvent parfaitement changer selon le contexte, les envies, les besoins ou les goûts du moment.
Mais parfois, il faut savoir oublier ces critères et goûts personnels pour être touché par un parfum, ou tout au moins apprécier à sa juste valeur l’acte de création qui l’a fait naitre.
C’est là la source de tout ce débat : Un Dominique qui critique les « aquarelles homéopathiques » répétitives d’Ellena, et un Jicky agacé qui défend ce parti pris épuré qu’Ellena fouille depuis toujours avec cohérence.
Et c’est là que je suis intervenu, défendant le point de vue de Jicky sur le fond, et admettant totalement que Dominique ne puisse pas être touché par les parfums d’Ellena.
Et pour répondre à ta question, oui, un Iris Ukiyoé avec plus de tenue serait super. Certainement plus portable. Mais si Ellena a choisi de le faire si léger c’est qu’il l’a voulu ainsi, donc apprécions le (ou pas) tel qu’il est.