Après l’Ondée
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 heure
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
J’ai enfin pu découvrir Après-l’Ondée grâce au corner Guerlain du Printemps de Strasbourg, bien plus fourni que le rayon G du séphora de ma campagne...! (Du coup j’ai aussi découvert Jardins de Bagatelle, Nahéma et Chanmps d’arômes : I’m glad !). Bon alors ce qui me frappe d’abord, c’est qu’il date de 1906 et qu’il semble avoir beaucoup moins souffert du poids des ans que les autres "vieux Guerlain". Je n’ai pas eu cette impression de "parfum daté" comme je l’ai systématiquement avec L’HB ou Mitsouko et Vol de Nuit (ce n’est en rien négatif, c’est juste une remarque importune, comme une fenêtre pop-up qu’on referme aussi vite qu’elle est apparue parce qu’on sait que ça n’a aucune importance). Mais tout de même, il aurait pu sortir l’année dernière, je suis certain que ça n’aurait choqué personne. Une violette trèèès poudrée, qui n’est ni bonbon comme celle de goutal, ni verte comme celle de Penhaligon’s. Une violette qui part dans une dimension plutôt crémeuse, presque cosmétique (= pour ce que je connais des cosmétiques..!). On ne peut qu’être serein en la portant, c’est incroyable, un peu comme avec Flower de Kenzo (je parle ici de l’humeur dans laquelle nous plongent ces deux parfums et bien sûr pas des parfums en eux même qui sont très différents). Ajoutez-y un nom poétique et me voilà totalement sous le charme, moi qui suis d’habitude très réfractaire à la violette ..!