La Saharienne mise en bouteille
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La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
hier
Bonjour Blanche, Ne regrettez rien car je n’étais nullement froissée, et je me demande ce qui a(…)
il y a 2 jours
Oh pour que Guerlain revienne en arrière il faudrait que quelqu’un d’autre qu’LVMH soit aux(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Absinthe, j’ai beaucoup ri aussi en lisant ton post.
Je voulais faire un petit commentaire au sujet de votre conversation (Absinthe, Dominique, Mitsouko, Vivi...) j’ai déjà évoqué la parfumerie où ma maman et mes grandes soeurs m’amenaient quand j’étais petite.
C’était dans les années 70 et c’est vrai que ça ne sentait pas le patchoufruit...
Je garde le souvenir de notes terreuses, de vétiver, de mousse de chêne, d’où mon goût pour les chypres.
Et sans parler effectivement des miniatures dont on était grafifiées à chaque fois.
Cela dit, comme Vivi, j’apprécie bien quand même le fait de pouvoir sentir à ma guise les parfums que j’affectionne dans les séphoraetautres et de pouvoir réclamer des échantillons même si je n’ai rien acheté (on ne m’en a jamais refusé, merci les séphorettes !).
On ne peut pas se permettre ça en boutique.
Je n’ose pas en tout cas me pointer à tout bout de champ, juste pour renifler, dans celle où j’achète mes parfums de niche.
Lors de ma petite virée parfumée à Paris, je dois bien reconnaitre que je n’ai pas été toujours chaleureusement accueillie, les vendeurs (euses) sentent vite que l’on n’est qu’en "mode découverte"...
Et vive le (bon) chocolat noir ! Bonne journée à tous !