Jeux de Peau
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 15 heures
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 16 heures
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 16 heures
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Ah Vivi, tu as parfaitement expliqué ce que j’essayais maladroitement d’exprimer.
Quand je parle de fascination vis à vis "l’ennemi" comme face à un cobra, je ne parlais pas d’attirance bien sûr mais de l’effet obsédant que peut avoir sur nous une énigme non résolue. Parce que face à un personnage comme Hitler, on ne peut qu’éprouver un désagréable frisson en songeant que malgré tout, c’était un humain. Et on est difficilement à l’aise avec l’idée d’appartenir à la même espèce que lui.
Comment et pourquoi de telles différences peuvent exister ? Hitler d’un côté, Gandhi ou Mandela, de l’autre. L’esprit humain est en cela fascinant.
Je te rejoins sur le fait qu’on peut se pencher sur ce genre de sujet sans être un ou une psychopathe. Moi même fascinée par les neuro-sciences, ce genre d’individus disons déviants est une mine d’or pour l’étude du cerveau, justement parce qu’il permet d’étudier "le côté obscur de la force". Et donc mieux comprendre le fonctionnement humain en général grâce aux études comparatives.
Je soupçonne d’ailleurs, comme toi, Serge Lutens d’avoir ce même type d’approche. En tout cas je l’espère.
Et pour ne pas avoir le moral en berne, je préconise la version bluffante de "Swanee River" par Hugh Laurie, notre délectable Dr House ( décidemment, il sait tout faire, wouah !).