Chanel N°19
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Amalia, tout de blanc drapée,
telle une Pythie
grecque de tragédie,
lis dans mes pensées !
Je tourne autour du N°19 depuis l’adolescence ... Ce qui ne date pas d’hier ! Mon premier Chanel porté a été Egoîste, puis N°5 EDP (grasse et vanillée, comme ma bedaine), Cristalle (sur l’EDP je bloque, je préfère l’EDT) et je tourne autour de Coromandel aussi, mais ça durera moins longtemps, son patchouli est une tuerie absolue.
Il me semble déjà l’avoir écrit, j’avais appris que Ute Lemper le portait et c’est une artiste pour laquelle j’ai une admiration sans borne.
N°5 est le navire amiral de la flotte Chanel, c’est un mythe et une icône. Mais je trouve au N°19 un air d’éminence grise, moins direct (et un peu moins consensuel ou accessible) et tout aussi séducteur.
Comme si le Cardinal de Richelieu en remettait un flacon à la vénéneuse Milady de Winter afin qu’elle subjugue Buckingham et parvienne à s’emparer des fameux ferrets de diamants ... Quel anachronisme de gazette ! J’assume.