Qui est propre, qui est sale ?
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C’est un accord fusant et lumineux entre deux matières pourtant souterraines – le gingembre et le vétiver – qui vient compléter cette année la gamme des infusions de Prada.
hier
Bien jolie collection que ces Malaki de Chopard. Black Incense bien sûr, mais aussi Rose Malaki,(…)
hier
Bonjour à tous, avec beaucoup de retard je m’intéresse seulement maintenant aux créations de(…)
À fond la gomme
Ombres ligneuses
Prendre racine
Le propre, j’aime bien, mais sur les autres. Le coté une tonne d’aldéhyde comme dans Blanche de Byredo ou White Linnen, j’adore, mais je trouve qu’on s’en lasse vite. Pareil pour les muscs proprets...
Le sale, c’est pas mon truc pour moi : sur les autres, je trouve ça craquant, mais sur moi, c’est complètement raté, ça ne me va pas du tout. Pas le physique, pas les fringues, pas l’allure, pas sexy ni sensuel etc. Donc, pas moi. Mais c’est quand même rudement plus intéressant et évolutif que le propre. (Le propre, on s’ennuie vite !)
Comme Jicky, j’adore les faux propres ceux qui sont un peu savonneux mais dont on se dit qu’il y a un petit truc pas net la-dessous. Le N°5 a toute ma préférence en extrait parce qu’après la phase jasmin, il se passe un truc poudre-savon avec des traces noires par en dessous franchement pas nettes. Et ça , j’adore.En plus, c’est typiquement le genre de chose qui me va bien parce que faut pas exagérer, je suis pas une bombe, mais j’ai rien non plus d’un néo-puritain.
ça me fait penser à Turin qui disait que la parfumerie française, c’étai fait pour et par des gens qui aiment manger des choses pourries qui puent (genre fromage et gibier faisandé) pas pour les adeptes du pasteurisé désinfecté.