Dans tes Bras
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 12 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
Bonjour !
Après plus d’une semaine, je récupère mon nez. Donc mission Dans tes bras.
A vrai dire, c’est déjà prête à camper sur ma première impression que j’ai testé sur peau. Prête à me dire "Jicky, sur ce coup là, je ne vois vraiment pas où tu es parti chercher tout ça, etc" (t’inquiète, je me repens juste après ;)).
Mais, en fait, ENORME différence entre le support papier et la peau.
Pas du tout d’ammoniac. Du sel en vrac, de la violette, puis un effet "petit daim", puis de nouveau le sel. Puis le retour du petit daim, la revanche de la violette, etc. Très fragmentaire.
Là, j’ai arrêté de sniffer mon poignet, pour reprendre une vie normale.
Et au bout de quelques instants, j’ai compris.
J’ai senti une vibration charnelle, plus qu’un parfum, remponter le long de mon cou.
C’est donc un parfum moiré, merveilleux quand on ne l’attend pas, mais insaisissable : dès qu’on essaie de l’approcher de trop près, c’est seulement sel-petit daim-violette.
Respect total.
Après, ma peau étant à la base crémeuse-sucrée-musquée, la pointe de sel ne l’a pas vraiment sublimée. Je louche plutôt vers Une fleur de cassie, merveilleux hydride d’un mimosa délicat et d’une fleur de laurier-tin âcre, qui aurait pétale, nectar et pollen au vent.