Yuzu de Caron, et encore des mondanités
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 3 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Après L’Homme d’YSL, après Guerlain Homme, après Bleu de Chanel, voici Yuzu de Caron, qui a le grand privilège, le sublime honneur de faire...pire que les autres. Et ça, il fallait déjà oser. Lancer un parfum qui sent le propre, certes. Lancer un parfum discret pour une clientèle bien ciblée, soite ! Mais lancer un parfum...que l’on ne sent pas, quel est l’intérêt ? Non, Jicky, je ne vous trouve pas mauvaise langue. Déjà qu’il faut s’y prendre à deux fois pour humer le premier jet, mais alors la tenue ! Nullissime. Rien. Juste après j’ai essayé le sublime Patchouli de Molinard (que j’ai commandé) je ne vous explique pas la transition. Là où malgré tout les 3 premiers que j’ai cité gardent une certaine tenue, voire une certaine distiction pour Guerlain et YSL, Yuzu n’a aucune classe, aucun caractère, aucune complexité. Et ce au prix fort. J’ajoute que le flacon est laid, le nom ridicule. Que nous font les grandes maisons ? Quand je vois à côté de ça l’audace des dernières créations hommes de Paul Smith ou Marc Jacobs, je suis pantois. Ne restent que Dior, Hermès ou Cartier pour sauver l’honneur.