Diptyque capte son essence
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Jicky, je te rejoins complètement. Pas DU TOUT marquant, absolument loin de tous les créations de l’époque où Diptyque était vraiment Diptyque. J’ai eu l’impression de sentir le mélange entre un vague parfum fruité mainstream avec un fond de parfum pour homme à l’ambiance tabacée, mais pas le moins du monde un seul instant d’originalité ou de complexité inintéressante dans ce parfum. Juste une ambiance brouillonne, vraiment, je n’insiste pas parce que je vais finir par porter le chapeau de celui qui a envie de taper sur Diptyque à tous les coups, mais enfin, moi qui n’aimait pas tant l’eau duelle, je lui trouve en comparaison des qualités incroyables. Et pour me justifier un peu, c’est sans doute ma déception qui explique ici mon ton, mais peut-on vraiment comparer ce truc avec l’ombre dans l’eau, avec l’eau, l’autre l’eau lente ou opôné ? Franchement ? Ce petit dernier, outre son flacon très moche, résonne pour moi comme vétyverio : inutile, inintéressant, vraiment dispensable.