Parfums disparus : flop olfactif ou flop marketing ? 3/4
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Légende de l'industrie, cette visionnaire a marqué la parfumerie des années 1970 à 1990 avant de créer la marque Roos & Roos avec sa fille Alexandra.
il y a 42 minutes
Oups ! Antaeus de Chanel, bien sûr, et Moonlight Patchouli de VCA.
il y a 6 heures
Grande variété de styles, donc choix infini parmi les chypres. On peut citer Soir de Lune,(…)
il y a 22 heures
Voilà un néologisme qui résume aussi Paris. Lol.
Lumière soyeuse
Faux classique
Le nez dans la terre
Toujours à propos de Coriolan, il avait le défaut d’arriver 10 ans en avance, et c’est là toute la vision d’un grand créateur comme Jean Paul Guerlain. Re-senti aujourd’hui, dans un contexte ou les belles matières reviennent sur le devant de la scène, ce parfum trouverait sa place. Il est bien construit, très agréable à porter, son sillage est identifiable et ne fait pas cheap. C’est une interpretation moderne d’un accord classique mais de grande qualité, un peu comme Terre d’Hermes, qui a réussit. Mais il lui manque la petite touche vanillée qu’attend le client Guerlain !!!! Ah ah ah, problème ! Aujourdhui, le client achète le nom et oublie que Guerlain était avant tout un créateur de parfums de qualité. Comme on ne lui rappelle pas, il suffit de lui vendre de la Guerlinade ou de muscinade comme "identité" Guerlain, caricaturalement mises en avant, et ça cartonne ! Pourtant, cette fameuse guerlinade toujours présente n’était pas si évidente dans Samsara, Chant d’Arômes, Nahéma, Chamade, et ça marchait aussi ! Les temps changent !
Pour les 2 autres parfums, je ne regrette pas personnellement Globe, qui a fait son temps, mais j’aimais porter Némo, qui s’est fait dépassé par son flacon et ses cousins plus "accessibles" de chez Armani. Je m’en suis pourtant lassé !