Belle d’Opium
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 16 heures
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
il y a 17 heures
Bonjour laprincesseaupetitpoids, bonjour à tous, nous avons très probablement le même : un grand(…)
hier
Bonjour Adina j’ai un Miss Dior vintage flacon 210 ml flacon pied de poule j’aime énormément(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Yves Saint-Laurent passé à la moulinette L’Oréal, c’est tout simplement...déprimant. Et cette Belle d’Opium ? Belle...non ! Opium...non plus ! Rien, le néant, l’inintéressant. Une espèce de soupe infâme de fleurs synthétiques, de fruits sirupeux, et de patchouli d’opérette. J’ai envie là de reprendre les paroles d’Alain Chamfort, sur une autre chanson consacrée à M St-Laurent : "Le marketing la poésie"
Le marketing la poésie
Quand ils s’installent sous le même toit
Peu importe qui trompe qui
C’est la poésie qui s’en va
Peu importe qui trompe qui
C’est la poésie qui s’en va
Le marketing la poésie
Quand ils s’unissent pour l’argent
Peu importe qui trompe qui
C’est la poésie qui fout le camp
Peu importe qui trompe qui
C’est poésie qui fout le camp