Les mal nommés
par Iridescente, le 6 septembre 2019
Je viens de faire quelques essais et c’est vraiment l’ylang qui s’en sort le mieux auprès du santal. Il faut dire que cette essence a quelque chose de si onctueux, si charnel qu’elle est complétée de façon troublante par le crémeux du bois. C’est doux, et pourtant plein de personnalité. Effectivement, on enfonce Samsara.
J’avoue tout : je m’en suis racheté un tout petit flacon pas cher pour l’été. Un flacon abeilles, hélas ! qui me déprime. Je me suis dit que c’était très piscinable, après tout. Je... n’ai jamais vénéré Samsara, mais même moi suis mal à l’aise devant ce qu’il est devenu. Soit dit sans condescendance aucune, il aura davantage sa place dans un rayon de supermarché à un prix abordable. Quand je le compare au très synthétique Maroussia, désormais vendu entre deux lessives mais si particulier et insolent encore qu’il a conservé tout son charme, et si peu cher, je suis encore plus estomaquée par le jeu de massacre auquel se livre GuerLVMH.
Votre réponse
à la une
Divine, l’été clair d’iris - Divine
Un iris majestueux qui se démarque par sa fraîcheur florale et printanière.
en ce moment
hier
Bonjour, Merci pour votre retour. Je n’ai malheureusement pas l’occasion d’aller à la capitale.(…)
Dernières critiques
L’Eau pâle - Courrèges
Lavande délavée
Mortel noir - Trudon
Église en flammes
Infusion de gingembre - Prada
Fraîcheur souterraine
il y a 19 heures
Je serais très intéressée d’avoir votre ressenti sur le nouveau flanker d’ALIEN : Hypersense Ma(…)