Midnight in Paris

par Opium, le 25 février 2011
Jicky,
Je profite d’une insomnie (tiens, encore une ?) pour te remercier...
Dès que j’en ai l’occasion, j’imprime ta liste des odeurs et de leur évolution / permanence par temps (chaleur et humidité) ! C’est excellent !
Etant tout nouveau dans "l’art" d’accommoder le parfum, comme la plupart, je prenais en compte la température... mais pas l’humidité, ce que je vais tenter de faire...
Et, tu avais probablement raison sur la possible "saturation olfactive". Je me suis fait sentir par une amie hier après-midi en portant Minuit : Paris. Alors que je ne sentais plus du tout mon parfum dans le creux du coude, elle m’a confirmé que je sentais encore beaucoup, inutile d’en remettre (mon défaut : comme les grands-mères qui s’aspergent de la moitié de leur flacon de Shalimar car, leur nez s’habituant, pour forcer le trait, elles vident la bouteille (tant que ce n’est pas de l’alcool à boire, toujours mieux), ce que je fais aussi trop souvent) !
Merci "docteur" !
Très olfactivement (je me cherchais une signature, c’est sympa, marrant, et cela permet de savoir qui signe : "Olfactivement vôtre" me tentait bien, mais Phoebus cite cet exemple dans la critique de Habit Rouge (dont me suis couvert les épaules pour me le remémorer), je lui laisse au cas où il souhaiterait signer "à sa façon" ;-) ).
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