Les parfums de la honte
par Jean-David, le 23 juillet 2017
Bravo, petite Folle de Roses, votre confession est un joli morceau de littérarture, et m’a fait bien rire ! Mais vous savez, Yves Rocher n’est pas nécessairement le signe indubitable de la damnation olfactive. J’ai d’ailleurs gardé l’assez bon souvenir de Chèvrefeuille, qui était une chose naturelle, fraîche et agréable. C’est une marque pas chère, capable de sortir des produits de faible qualité, mais aussi de réserver de bonnes surprises. Cela vaut mieux, à tout prendre, qu’une marque de luxe qui, pour céder au goût du jour ou à l’ambition de grossir ses gains, trahirait les amateurs et sortirait une petite horreur... ou plusieurs, le long des années.
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
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