Effluves influentes
par dau, le 1er mai 2011
Moi, j’ai renoncé au petit sac à main pour le bureau parce que pour mettre sa petite salade de midi, ok mais un sac de voyage, c’est mieux parce qu’il y a des jours ou je ne sais pas exactement quel parfum mettre et ou j’emporte 5 flacons avec moi pour pouvoir me décider dans la journée.
Quand j’ai du évacuer mon immeuble because incendie, j’ai penser à emporter un flacon de N°5 en extrait. Même pas entamé ! Et puis, ça fait premiers secours. Mon appart a finalement été épargné, tout va bien.
Je vis comme un drame personnel et un important motif de rupture amoureuse ou amicale le fait qu’on m’offre un parfum que je n’aime pas. (Enfin, Bleu, je romps. One Million, je me suicide à l’idée que c’est comme ça que les gens me voient.)
Le plus embrassant, c’est quand même quand je dois me retenir pour ne pas foncer me nicher dans le cou d’inconnus dans le métro parce qu’ils sentent si bon. Dieu merci, le viol olfactif n’est pas encore punissable en Europe. (?)
J’ai une vie sociale perturbée quand même : je vexe les gens avec des réactions de dégoûts beaucoup trop marquée lorsqu’on évoque leur parfum fétiche. En même temps, j’ai aussi réussi à faire passer une collègue de Boss à Féminité du bois et Kyoto.
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