Diorella
par idepont, le 11 janvier 2013
J’ai beaucoup porté Diorella dans les années 80, quand j’étais jeune fille. Il me correspondait vraiment, c’était un parfum qui n’avait rien de tapageur, mais dénotait, trouvais-je alors, une réelle indépendance d’esprit et me correspondait bien (je suis toujours passée pour un peu originale dans mon entourage). Puis je l’ai abandonné, ne me demandez pas pourquoi, je n’en sais toujours rien. J’ai juste rencontré d’autres merveilleux flacons. Puis je l’ai oublié. Puis je l’ai un jour senti à nouveau en parfumerie. Je l’ai immédiatement acheté pour ma fille de 16 ans, il y a 2 ans. Elle l’a instantanément adoré, en est à son 3ème flacon, et le porte avec un brio inouï, tout le monde le remarque, où qu’elle aille. C’est la seule fois que j’ai acheté un parfum pour quelqu’un d’autre sans avoir consulté le destinataire, mais j’étais tellement sûre de ne pas me tromper... C’est simple, en le sentant à nouveau, j’ai *vu* ma fille, encore plus que je ne me suis vue à son âge. A part ça, elle m’a définitivement piqué ma Violette de Goutal, et vient d’avoir un coup de coeur pour Sublime Balkiss, qui lui va à ravir aussi. Elle est à la fois discrète et très indépendante, très têtue, très imaginative (elle est en école d’art), bref une très forte personnalité silencieuse. Anaïs Anaïs ou un quelconque patchoufruit n’ont aucune chance de lui plaire... :-)
Votre réponse
à la une
Into the Wild - Maison Matine
Cette nouvelle eau légère, mais non dénuée de caractère, démarre sur une pincée de cardamome et de poivre camphrés, annonçant un décor plus solaire.
en ce moment
hier
Bonjour à tous, Amoureux des parfums de Sylvaine Delacourte, réjouissez-vous ! Les parfums de la(…)
il y a 4 jours
Avis aux parisiens du site, Serge Lutens vient de lancer sa nouvelle collection Au Royaume des(…)
Dernières critiques
L’eau d’or dort - Fascent
Fleur de bonne humeur
Vénus céleste - Denis Durand
Déesse dans le boudoir
Violette Kew - Le Jardin retrouvé
Épice & love
hier
Bonjour à tous, Amateurs des parfums Sylvaine Delacourte, réjouissez vous ! Alors que(…)