Fille en Aiguilles
par LaComtesse, le 30 mars 2010
Entre mon amour des talons aiguilles, et mon attirance (perverse ?) pour les églises, je n’ai pu que fondre dans le Filles en Aiguilles... malgré son prix. Allez, on n’a qu’une vie, je le veux, je le veux. Je vous trouve tous un peu bizarre de trouver qu’il y a de la pinède là-dedans... Ah oui, le nom du parfum ! mézalors, l’encens d’église serait fabriqué avec de la résine de pin ? En tous cas, quand je le mets, ça ne me rappelle pas mes vacances dans les pinèdes d’Oléron, c’est une prière qui monte, j’entre dans une cathédrale vide et immense, et... ma foi, il a tellement d’allure et d’originalité ce parfum, que je me sens irrésistible. Limite à fouetter mes comparses d’un oeil méprisant. Oh ce monsieur Lutens, quel effet il me fait...
Allez, j’avoue, j’ai aussi craqué pour la plus grande douceur de Lutens : le Bois Vanille. Alors selon humeur, un jour je fouette le quidam, un autre jour je le console de caresses vanillées. Arrête, Serge, arrête !
Votre réponse
à la une
L’Eau pâle - Courrèges
Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
en ce moment
Dernières critiques
Mortel noir - Trudon
Église en flammes
Infusion de gingembre - Prada
Fraîcheur souterraine
Berbara - Nissaba
À fond la gomme
il y a 17 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)