Mitsouko et L’Heure Bleue : un problème de base

par Passacaille, le 29 novembre 2016
Chers Doblis et Vesper,
il faut confesser un parallèle avec une grand-mère disparue il y a quelques mois. Les personnes que l’on aime ont besoin de nous, les œuvres aussi ! On ne passe jamais assez de temps avec ses proches, avec la poésie non plus, et il faut aussi accepter que le sentiment de perte est inévitable quoi qu’on fasse. Proust l’exprime si bien, si délicatement, mais pleinement : la douleur est imparable, on peut seulement l’apprivoiser un tant soit peu et conserver, comme un trésor sans prix, les souvenirs condensés dans le réceptacle de notre mémoire. Et on peut les raviver parfois dans les échanges d’une conversation, le récit pour les plus jeunes d’une époque révolue.
En évoquant l’Iriséine avec les personnes remerciées au bas de l’article, j’ai entendu les voix émues des hommes et femmes qui ont connu l’age d’or (un autre viendra un jour) et qui étaient heureux d’en partager des bribes, d’en savourer le souvenir, et cela on devait le partager ici :-)
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