Fahrenheit

par Farnesiano, le 7 juin 2025
De mon flacon original acheté fin 1988, au retour d’un voyage à Venise où je l’avais senti non loin du Pont de l’Académie, porté par un jeune père qui venait d’aller chercher son gamin à l’école, il me reste deux bons centimètres. Un petit pschitt ce soir sur le poignet... et impossible de ne pas y retourner.
On l’a dit, redit, répété des centaines de fois, ce Dior est l’un des beaux étonnants masculins du siècle dernier. Son sillage est renversant, vert, violet, pourpre, avec des reflets argentés qui font miroiter les notes sombres, grasses et vibrantes d’un cuir profond, suave, absolument unique.
Parfum de jour, idéal par temps humide et frais. (À éviter en complet-cravate.)
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