Scandal
par Garance2, le 4 mars 2017
Merci Passacaille pour le récit de cet émouvant jeu de pistes. Je l’ai lu comme on lit une nouvelle. J’ai le coeur serré par la mort d’une vieille musicienne italienne, le nez empli des effluves puissantes du goudron de bouleau... et peu importe si je n’ai jamais senti cette odeur, c’est à présent pour moi celle d’un air de piano mélancolique venu de Milan, d’ une mystérieuse madame Z, d’ un parfum de Scandal.
Merci aussi pour les renseignements plus techniques. C’est pour cela que j’aime au parfum, et depuis peu-J’ai un certain retard sur la question, j’en conviens- la revue Nez : le mélange d’informations scientifiques, techniques avec une vision du parfum qui peut être aussi sociologique, et parfois poétique.
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