Black Opium

par Jeanne Doré, le 22 octobre 2014
Bonsoir L’Orpheline, ravie que la critique vous plaise...
Dans le film de Bonello, on voit bien comment justement le nom Yves Saint Laurent s’est peu à peu transformé en marque, et comment la licence Beauté a été séparée de la couture.
Comme le dit, très ironique, le personnage vers la fin du film, « J’ai l’impression d’être devenu un vernis à ongles dans un Prisunic ou un sac à main » :)
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