Quel parfum portez-vous ?

par Chanel de Lanvin, le 8 janvier 2020
Oriental Pearl de Shanghai Tang,voyage en Asie et ses mystères.
La délicatesse et le nacre dont une perle pourrait nous séduire prend dans cette formule la direction d’un parfum épicé chaud grâce au patchouli qui s’habille d’ambre,de benjoin et de labdanum.
Ces matières qui me sont chers me surprennent toujours,on est loin d’un patchouli de Réminiscence,mais plus proche de celui de Nicolaï avec son Patchouli Intense et de Profumum Roma avec Thundra,peut-être une similitude avec Madame Grès,l’ananas et la vanille en moins.
Bref encore ( non pas un reproche ) mais encore comme plaisir,de redécouvrir un patchouli qui semble n’avoir jamais dit son dernier mot.
Cette perle cache bien son jeu,nous la suivons dans les nuits de Shanghaï avec ses néons mutlicolores qui illuminent la ville la plus peuplée de Chine,où les supplices chinois sont remplacés par le raffinement de ce parfum.
Paradoxe de ce raffinement à l’intérieur d’un flacon de verre carré massif,très lourd tel un presse papier,la fragrance en impose par sa présentation.
Elle ne diffuse pas un sillage puissant mais une tenue parfaite toute la journée,ou là nuit si vous voulez vous évader dans son univers et rêver aux charmes et mystères asiatique,sur la route de la soie.
Votre réponse
à la une
Elisa - MarieJeanne
Entre retour en enfance et évocation solaire, MarieJeanne rend un bel hommage à la bergamote. Souvent cantonné aux notes de tête, l’agrume occupe ici le centre d’une composition à la fois simple et surprenante.
en ce moment
il y a 17 heures
Shalimar L’Essence, véritable chef-d’œuvre de l’escroquerie olfactive. Un parfum qui ose s’appeler «(…)
il y a 2 jours
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
Dernières critiques
Colonia il Profumo - Acqua di Parma
Faits et zestes
Vanille Carbone - Atelier Materi
Brut de gousse
Carbone - Balmain
Sillage anthracite









il y a 17 heures
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)