Truffe et muguet pour L.I.L.Y de Stella Mc Cartney
par Jeanne Doré, le 4 janvier 2012
Neuf ans après son premier parfum, Stella, décliné depuis jusqu’à l’essoufflement en de multiples et plus ou moins réussis flankers, Stella Mc Cartney lance sa deuxième création en janvier 2012, qui se nommera L.I.L.Y.
Petit surnom donné par son Beatles de père à sa mère Linda pour dire « Linda I Love You », L.I.L.Y est construit autour d’une note de muguet, (par ailleurs sa fleur préférée), dont la partie "sombre et masculine" a été explorée, d’un accord de truffe noire, créé à partir d’extrait naturel, et de mousse de chêne (pas naturelle, elle, du coup...).
Contenu dans un flacon inspiré par des vases anglais Art déco, L.I.L.Y, comme le tout premier Stella, est signé par Jacques Cavallier-Belletrud, qui va justement dès janvier rejoindre la marque Louis Vuitton comme parfumeur maison pour créer de toute pièce la gamme de parfums qu’ils n’ont jamais eue...
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par xxerus, le 4 janvier 2012 à 16:52
Muguet + partie "sombre et masculine" + truffe noire + mousse de chêne = grosse envie de le tester.
Quelqu’un connaitrait-il la date supposée de sortie ?
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par moujik4, le 5 janvier 2012 à 19:09
Tiens Xxerus je commençais à me demander où tu étais passé ;) Je suis impatient aussi de le sentir, sur le papier il semble intéressant.
Je fais un petit flash back, j’avais laissé un commentaire sur RED for men de Giorgio BH auquel j’aurais aimé que tu répondes Je disais qu’il me rappelait GLOBE de Rochas, et dans une moindre mesure L’insensé de Givenchy. Ils sont sortis à peu d’intervalle, RED étant le 1er est encore un peu dans la lignée "virile", les deux autres, postérieurs, sont plus doux mais à mon sens se situent dans la même veine : puissante note verte en tête, et après des notes plus chaudes fleuries-cuirées, un peu savonneuses.
Bref il ne me déplait pas et même si je risque peut-être de m’en lasser rapidement, je compte bien le porter.
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par Patrice, le 4 janvier 2012 à 17:52
Un muguet aussi profond et "en trois dimensions" comme la très belle rose de Fléchier, elle aussi travaillée avec un accord "truffe" ?
Ou une simple accroche marketing ?
Attendons de voir... ou plutôt, de sentir !
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