New-York
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
hier
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
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Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
hier
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
J’avais découvert le parfum New York il y a plus de quinze ans et je n’avais pas été plus emballé que cela, à tel point que je n’y étais jamais revenu jusqu’à la semaine dernière. Je suis allé le sentir dans une boutique de Cabourg et l’ai essayé en version eau de toilette sur ma main : je comprends la filiation que de nombreuses personnes ici établissent avec Guerlain mais j’avoue que c’est surtout à l’esthétique de la maison Sisley qu’il m’a fait penser. Quelque chose de très beau, de luxueux et de vibrant.
Très gentiment, la vendeuse me propose un échantillon que j’accepte en la remerciant. Or en rentrant chez moi, je constate qu’il s’agit d’un décant de la version intense (eau de parfum) : je suis ravi de pouvoir comparer les deux versions aussitôt. J’ai un faible immédiat pour la version intense, moins brillante au premier abord mais tout de suite très suave et très marquée par les baumes... sauf que l’odeur disparaît totalement de ma peau après une heure tout au plus ! Je refais une tentative quelques jours plus tard et constate la même chose : seuls quelques légers effluves restent à la surface de mes vêtements, mais un spectre beaucoup plus qu’un sillage. Énorme déception, surtout que ce parfum est loin d’être donné... Certains d’entre vous ont-ils remarqué une baisse de la qualité de New York intense ces derniers temps ? Ce serait vraiment très regrettable qu’une maison comme Nicolaï cède elle aussi aux économies et transige sur la qualité des matières premières.