Mal aimé
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Entre retour en enfance et évocation solaire, MarieJeanne rend un bel hommage à la bergamote. Souvent cantonné aux notes de tête, l’agrume occupe ici le centre d’une composition à la fois simple et surprenante.
il y a 15 heures
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
il y a 15 heures
Shalimar L’Essence, véritable chef-d’œuvre de l’escroquerie olfactive. Un parfum qui ose s’appeler «(…)
il y a 2 jours
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Ayant reçu mon échantillon et ne pouvant attendre, je le porte au poignets avec En Passant au creux des coudes. La juxtaposition forme l’essence de mes étés.
Non, je ne vis pas en Corse mais au Québec. Près de chez mes parents, il y a des champs incultivés depuis des générations où l’on peut sentir cette odeur caractéristique entre toutes (j’apprends ici que c’est l’inule, sinon une astéracée s’en approchant) lorsque le soleil plombe.
Sur peau et sur touche, ce parfum forme deux mondes différents. Alors que le déploiement sur touche semble se faire au ralenti (je sens longuement la sauce maison aux habaneros d’une amie), sur peau les notes défilent en à peine deux heures, confidentielles, jusqu’au fond qui évoque par la bande le patchouli mais en mieux, moins savonneux, moins persistant, plus tendre, vert, solaire.
Deux choses sont sûres : ce parfum est une belle réussite, d’une singularité... et je veux le réessayer seul, plus abondant, en mode "je me parfume" et non "je teste".
P. S. : Si ce parfum et cette maison vous intriguent mais que vous peinez à les trouver, vous serez heureux d’apprendre que les jolis coffrets découverte de 5 parfums d’Empire sont gratuits, moyennant des frais de port raisonnables (20 euros à l’international).