Mal aimé
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À quelques jours de Noël, nous avons dressé une liste (non exhaustive) des publicités de parfums qui ont croisé notre regard dans la rue. Voici une appréciation - évidemment très personnelle - de ce qui vaut vraiment le coup de nez.
il y a 2 jours
Ah, un coup de coeur, ce parfum, même si je n’ai toujours pas franchi le pas de l’achat : je l’ai(…)
il y a 5 jours
Vous semblez oublier les notes poivrées ou les notes de baies qui apportent tout leur charme à(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Ayant reçu mon échantillon et ne pouvant attendre, je le porte au poignets avec En Passant au creux des coudes. La juxtaposition forme l’essence de mes étés.
Non, je ne vis pas en Corse mais au Québec. Près de chez mes parents, il y a des champs incultivés depuis des générations où l’on peut sentir cette odeur caractéristique entre toutes (j’apprends ici que c’est l’inule, sinon une astéracée s’en approchant) lorsque le soleil plombe.
Sur peau et sur touche, ce parfum forme deux mondes différents. Alors que le déploiement sur touche semble se faire au ralenti (je sens longuement la sauce maison aux habaneros d’une amie), sur peau les notes défilent en à peine deux heures, confidentielles, jusqu’au fond qui évoque par la bande le patchouli mais en mieux, moins savonneux, moins persistant, plus tendre, vert, solaire.
Deux choses sont sûres : ce parfum est une belle réussite, d’une singularité... et je veux le réessayer seul, plus abondant, en mode "je me parfume" et non "je teste".
P. S. : Si ce parfum et cette maison vous intriguent mais que vous peinez à les trouver, vous serez heureux d’apprendre que les jolis coffrets découverte de 5 parfums d’Empire sont gratuits, moyennant des frais de port raisonnables (20 euros à l’international).