Parfums réédités : les retrouvailles olfactives
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Merci de cet article et de cette possibilité de nous exprimer sur un sujet peut-être futile mais pas tant que ça si on pense à tout ce qu’un parfum évoque… Si ce blog était lu par un génie bienveillant, je lui demanderais de me rendre le délicieux “Deci Delà” de Nina Ricci, avec toute la ligne assortie et les si joyeux flacons : je n’ai jamais compris ce retrait. Je lui demanderais aussi de me rendre “Apple Blossom”, d’Helena Rubinstein, pour que je retrouve l’odeur de ma mère en robe du soir prête à sortir et toute heureuse. Enfin, je lui demanderais de me rendre le véritable “Ombre Rose” de Jean-Charles Brosseau, dont la resucée achève de tourner à l’alcool dans mon placard. S’il pouvait convaincre Molinard de reprendre “Habanita” en concrète et de faire pour un de ces Noëls une réédition des concrètes de ma jeunesse, ce serait la cerise sur le gâteau. Mais je crains que même une armée de génies ne réussissent pas à faire entendre raison à ceux qui dirigent les entreprises qu’ils ne méritent pas toujours !