Parfums réédités : les retrouvailles olfactives
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 2 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Pour ma part je reste inconsolable de la disparition de "Elisabethan Rose" version 1984 de Penhaligon’s la meilleure rose que j’ai jamais sentie, "Mon parfum chéri" de chez Goutal ainsi que "Tubéreuse" que portait ma grand-mère et qui était magnifique. "Les belles" de Nina Ricci de Jean Guichard en particulier le flacon vert qui sentait la feuille de tomates. Après dans les arrêts récents je déplore la disparition de "Mademoiselle" de chez Godet une merveille de rose/pivoine, je ne comprends pas du tout c’était un si joli parfum. Ah oui et de chez Penhaligon’s "Cornubia" ainsi que "Victorian posy", leur "Verveine" qui était splendide, je suis très fâchée après eux ils ont sabré leur héritage. Bref il y en a pleins d’autres et notamment des légendaires que je rêverai de sentir comme des anciens Guerlain.