La Religieuse, Serge Lutens en odeur de sainteté
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour Des Esseintes,
Vous me faites grand plaisir en suggérant une correspondance parfum-musique car je suis moi-même musicienne. Il se trouve en outre que Mylène Farmer est une artiste que j’adorais, jeune adolescente, à l’aube des années 1990 (!)
Je vois tout à fait ce que vous voulez dire.
Mais au-delà même de cela, je me dis que La Religieuse aurait été un parfum apprécié par l’attachant personnage de Huysmans dont vous portez le nom ! On est proche ici de l’univers des symbolistes et des décadents, et à bien des égards, on pourrait dire que Lutens en est un héritier. Tubéreuse criminelle, L’Orpheline, Fumerie turque, La Couche du Diable, Rose de nuit, La Proie pour l’ombre, La Vierge de fer : autant de noms très symboliques avec ce petit côté inquiétant caractéristique...