Dolce Vita
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 14 heures
Bonjour, j’adore ce parfum, il me reste un fond de flacon que j’économise. Il devient(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Oh ! Moi aussi c’est mon premier parfum choisi "personnellement", sortant de l’influence olfactive de ma maman (j’ai porté longtemps le merveilleux Chanel, Cristalle, qui venait d’elle et signifie toujours sa présence quand je le sens ; puis j’ai porté Allure, et aujourd’hui c’est elle qui le porte.)
J’ai choisi Dolce Vita avec son accord (je ne m’achetais pas encore de parfum, j’avais à peu près 16 ans) et je me souviens avoir été ravie par l’audace de mon choix, même si le côté très boisé/épicé en fait un parfum que j’aimais mieux porter l’hiver.
Aujourd’hui j’ai de nouveau un tropisme boisé/épicé (accompagné d’une obsession pour les roses poivrées) qui s’est traduit par l’achat successif de Eau capitale (Diptyque), La Fille de Berlin (Lutens) et Une Rose (Edouard Fléchier / Frédéric Malle). Il faut que je voie ce que Dolce Vita est devenu !