Le Dieu cerf, dans les bois de l’église Saint-Eustache
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Un parfum suranné et tendre à souhait, sorte de compagnon idéal de fin de soirée, qu’on ne risquera pas de regretter.
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Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Je n’ai pas pu m’empêcher d’aller mettre la main dessus, rien que pour l’expérience d’acheter du parfum dans une église.
Rien à dire sur le plan de la qualité, c’est un plaisir rétro qui pioche dans le répertoire des eaux de Cologne et des eaux chyprées, en apportant ici une petite facette anisée, là une ébauche de pas de deux rose-vétiver, unis par un effet mousse de chêne... J’ai aussi pensé à l’Eau sauvage, et me suis même rappelé l’approche plus contemporaine de l’Eau de gloire de Parfum d’empire, en moins feuillu bien sûr. Il est très facile à porter.
Mon PEL est intact, la tenue de la composition est plutôt bonne, le dieu cerf devrait donc se retrouver sous le sapin de quelques-un de mes proches à l’avenir.