Le Dieu cerf, dans les bois de l’église Saint-Eustache
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
hier
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 4 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Je n’ai pas pu m’empêcher d’aller mettre la main dessus, rien que pour l’expérience d’acheter du parfum dans une église.
Rien à dire sur le plan de la qualité, c’est un plaisir rétro qui pioche dans le répertoire des eaux de Cologne et des eaux chyprées, en apportant ici une petite facette anisée, là une ébauche de pas de deux rose-vétiver, unis par un effet mousse de chêne... J’ai aussi pensé à l’Eau sauvage, et me suis même rappelé l’approche plus contemporaine de l’Eau de gloire de Parfum d’empire, en moins feuillu bien sûr. Il est très facile à porter.
Mon PEL est intact, la tenue de la composition est plutôt bonne, le dieu cerf devrait donc se retrouver sous le sapin de quelques-un de mes proches à l’avenir.