Musc outreblanc, l’immaculée conception de Guerlain
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bonsoir !
Alors voilà, je me suis rendue aujourd’hui chez Guerlain pour sentir ce "musc outreblanc".
Agréable et doux, mais sans plus, très peu présent, il tient mieux sur ma manche de pull que sur l’intérieur de mon poignet !. 30 mn plus tard je ne le sentais plus du tout sur ma peau. Je trouve qu’il manque singulièrement de caractère comparé aux autres de la gamme d’Art et la Matière, et qu’il ressemble à beaucoup d’autres parfums. En gros il n’a rien d’exceptionnel. Mais il mérite peut-être que j’y retourne pour le flairer encore une fois dans de meilleures conditions, avec un masque moins épais (le masque n’aide pas à tester !) Et le rhume en moins. En tous cas à première vue je ne suis pas conquise.
Par ailleurs (puisque Pétricor en parlait, qu’il se rassure), il n’a vraiment rien à voir avec "le cri" de Parfum d’Empire, qui lui tient très bien et ne manque pas de caractère. Mais en passant très cher malgré tout, tarifs du même ordre que la série l’art et la Matière.