L’Eau des Merveilles
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 2 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Bonjour Emma,
J’ignore si le vétiver occasionne des migraines. Cela n’a jamais été mon cas. Pour certains, ce sera aldéhydes, pour d’autres la tubéreuse, pour d’autres encore le bois d’oud... Par contre, le côté "pin épicé et presque salé" de cet étonnant Hermès que l’on retrouve dans l’un ou l’autre produit destiné au nettoyage des toilettes, peut indisposer certaines personnes. Cette merveilleuse, selon moi, Eau des Merveilles (et vive le pléonasme !) dont on se demande par ailleurs comment elle a pu obtenir un si grand succès auprès de la clientèle féminine tant elle est singulièrement peu fleurie (son beau flacon et surtout son nom ont sans doute joué comme longtemps après lui, celui de La Vie est belle) demande à être apprivoisée. Il m’a fallu longtemps avant de l’aimer, de l’acheter et d’oser la porter, ce n’est que quand j’ai découvert les notes qu’elle partage avec Rocabar sorti cinq bonnes années plus tôt que j’ai totalement succombé.
Si vous en avez la possibilité, testez à l’occasion les versions Elixir et Ambre, plus chaudes, plus orientales, idéales pour la saison froide.