Guerlain : deux roses pour célébrer la renaissance de l’Art et la Matière
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
C’est sûr que si la priorité de Guerlain/ LVMH c’était de faire du beau à des prix raisonnables et de préserver un patrimoine, on le saurait, mais la priorité est depuis longtemps ailleurs, cela se voit de plus en plus.
Quant à Chanel, un autre exemple : les « eaux » vendues en boutique (Paris-Biarritz et les deux autres) annoncées à 112€/ 125ml à la fin de la critique/pub sur Auparfum en 2018, ont augmenté de 15€ en 3 ans, donc à 127€ aujourd’hui.
Pourquoi Guerlain, Chanel, et d’autres se gêneraient-ils ? Il y a apparemment toujours du monde pour acheter quel que soit le prix (et la qualité parfois), donc c’est parti pour continuer (parfums exclusifs et les autres).
On peut aussi arrêter de leur faire de la pub en parlant d’eux, et passer à autre chose : il y a de belles découvertes à faire chez Santa Maria Novella, l’Institut Très Bien, et Maître Parfumeur et Gantier, ceux-là on n’en entend que trop peu parler.