Le Lion
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Finalement, ce n’est pas plus mal qu’on ne puisse pas corriger nos avis passés.
Je reviens tempérer mon propos.
J’ai vraiment bien fait de garder Le Lion à l’ombre alors qu’il m’avait déçu en janvier.
Ayant la main trop lourde, je me suis étouffé cet hiver.
Avec des températures plus douces, il prend comme forme et rayonne. J’ai même, trois pschitts, passé la nuit en sa compagnie et la chaleur, la moiteur, des oreillers lui va bien. Et à moi aussi. Là, je ferai un parallèle avec Habanita : point trop n’en faut !
Donc, certes, il a
des allures de... Mais je lui trouve beaucoup de charme et une personnalité propre.
J’espère qu’il trouvera son public, d’un point de vue global, afin que Chanel nous livre une version Parfum, comme pour chaque exclusif qui marche bien.