Quel parfum portez-vous ?
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C’est un accord fusant et lumineux entre deux matières pourtant souterraines – le gingembre et le vétiver – qui vient compléter cette année la gamme des infusions de Prada.
il y a 3 jours
Quelle belle description ! Je viens justement de tester ce parfum et je retrouve exactement ces(…)
il y a 4 jours
Bonsoir je n’ai pas suivi cette saga Nolenca, découvrant sur le tard ce petit bijou. Lasse des(…)
il y a 4 jours
C’est du génie à ce niveau. Chanel sort un parfum dont vous êtes fan de l’odeur. Mais c’est une(…)
À fond la gomme
Ombres ligneuses
Prendre racine
"Ninfeo mio" de Goutal
Je teste un flacon acheté d’occasion sur vinted, avant de l’ajouter à ma réserve. Je kiffe.
Petitgrain citronnier (quasi néroli), sur une inflexion de figue. C’est une balade dans un jardin, vert, par une journée sans nuage, bleue.
Lentisque (mastic) et galbanum font partie de mes notes préférées.
Est-ce que l’un d’entre vous a détecté une reformulation de l’eau de cologne exclusive chanel ?
Il y a une poignée de mois, j’ai hésité à acheter enfin la cologne exclusive de Chanel. Il y avait là aussi une offre d’occasion. Et les flacons sont beaux, ce qui n’améliore pas ma faculté de jugement :)
Mais quand j’ai testé mon échantillon reçu en 2019, je n’ai pas retrouvé la fleur d’oranger que j’aimais tant dans mes souvenirs. Sur 2 jours d’essai, je l’ai trouvé faible sur le tissu, faible sur la peau, et le plaisir n’était plus là. (petite rougeur en bonus, quelle ironie). Mais peut-être que ça vient de moi, mon nez était peut-être dans "un jour sans", en cet hivers. Donc tant pis, quoi, ce sera plus de Ninféo mio. De l’avantage de connaître ses goûts...
Je trouve que Chanel commence à imiter Dior, en terme de direction artistique, dans la façon de peut-être diminuer ce genre de matières premières nobles au profit de substituts un peu shampouineux, et à l’approvisionnement plus facile. Pure théorie de ma part, c’est comme si les écorces d’agrumes venait avec un approvisionnement facile, et qu’en les recombinant avec des bases synthétiques -des reconstitutions florales- les marques croyaient pouvoir se passer d’ingrédient dure à sourcer en quantité et en qualité. (Néroli, petitgrain, fleurs, gommes...).
Sauf que, à mon nez, mon cerveau rationnel peut analyser deux parfums comme similaires, sauf que l’un touche mon point G olfactif et pas l’autre -mon cerveau inconscient reptilien-. C’est arrivé très souvent pour confirmer une reformulation, en pouvant comparer différents flacons du même parfum.
Par exemple, j’ai beaucoup tourné autour de Paris-Deauville avant de me raviser. J’ai l’impression qu’un substitut de fleur d’oranger y supplante la vraie. Et je retrouve la même dérive sur les substituts dans Gabrielle. J’excuse Gabrielle, car si un mainstream connaît un succès mondial, il faut pouvoir le produire en masse. Mais je comprends moins ma sensation de dérive mainstream dans leur gamme exclusive.
(Toutefois Paris-Deauville faisait partie d’une gamme plus "fonctionnelle" de gel douche et lotion de voyage, mais j’aurais préféré que l’edt tire la lotion et le gel vers le haut, plutôt que l’inverse. (Plutôt que la lotion et le gel tire l’edt vers le bas). A titre d’exemple, j’aime L’occitane pour le ressenti qualitatif de ses gels douches (amande, shampoing 5 huiles essentielles), savons durs (roses 5 reines), et crème karité pour les mains (odeur de graine, presque d’iris), etc., donc pas d’excuse.)
(Pareil pour le beurre d’iris pour les mains de Malle par Olivia Giacobetti, qui anoblit la crème pour les mains au rang de parfum.)
Je remercie DelFred d’avoir fait remonter le sujet sur "Acide" des Éditions M.R.
Ca a l’air d’une super cologne, et j’ai bien envie de partir en chasse pour la trouver.