Fils de joie
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 14 minutes
Merci ! DOM fromBE pour vos conseils que je vais suivre, il est vrai que les parfums "non genrés(…)
il y a 20 minutes
Merci Ana ! Je ne connais pas ces deux parfums, je vais les essayer. Bon week-end(…)
il y a 1 heure
Bottega Veneta ressemble le plus à Cuir Améthyste d’Armani. Je ne pense pas que la présence de(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bonjour à tous,
Merci à tous ceux qui ont commenté de façon très fouillée ce Fils de joie, en particulier Calygo W. et Petrichor qui nous livre un brillant story telling bien dans l’air du temps et d’une poésie contemporaine fort évocatrice. Si avec ça, tous les bad boys du Marais et d’ailleurs ne se précipitent pas chez Lutens, c’est à désespérer. Que les autres se rassurent, on pourrait raconter une toute histoire et s’y précipiter aussi. En particulier les femmes - dont je suis - qui ont cessé depuis un bail d’être des nymphettes et gardent une vraie nostalgie pour les années 80 et la flamboyance inégalée de leurs parfums. Car Fils de joie en est le rejeton tardif, heureux et plutôt inattendu. Il est très opulent mais reste élégant, avec une belle projection. Vous avez adoré Coco, Diva, Ysatis ? À n’en pas douter, vous aimerez Fils de joie ! Va y avoir de l’ambiance chez Lutens ! Tous masqués chez le beau Serge !