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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour,
Mes tout premiers souvenirs sont le Y (le vrai, pas Wai qui sent le gel douche pour ado au dos pustuleux) et le Cristalle de ma mère, à une époque où je reniflais en cachette du Punjab de Capucci. Ensuite, ce furent Paris, Ysatis, Chloé de Lagerfeld. Et ma première bouteille de Kouros, à 15 ans.
A 18, je portais Santos. Et un article de Cosmopolitan allait me faire découvrir Mitsouko, que je porte encore...
Que d’aventures, de sensations et d’anecdotes.
A cette époque, les miniatures servaient d’échantillons, les gammes de bains étaient fantastiques, les lancements raisonnés et significatifs. Entrer dans une parfumerie n’était pas un acte banal. Les parfums d’ailleurs n’étaient pas à ce point entrés dans les mœurs comme l acte final d’une routine hygiénique. Ils avaient encore prestige, mystère, séduction...
A cette époque, on ne parlait pas avec dédain du mainstream, c’était toujours du luxe.