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La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
il y a 3 jours
Bonjour Blanche, Ne regrettez rien car je n’étais nullement froissée, et je me demande ce qui a(…)
il y a 3 jours
Oh pour que Guerlain revienne en arrière il faudrait que quelqu’un d’autre qu’LVMH soit aux(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Bonjour,
Mes tout premiers souvenirs sont le Y (le vrai, pas Wai qui sent le gel douche pour ado au dos pustuleux) et le Cristalle de ma mère, à une époque où je reniflais en cachette du Punjab de Capucci. Ensuite, ce furent Paris, Ysatis, Chloé de Lagerfeld. Et ma première bouteille de Kouros, à 15 ans.
A 18, je portais Santos. Et un article de Cosmopolitan allait me faire découvrir Mitsouko, que je porte encore...
Que d’aventures, de sensations et d’anecdotes.
A cette époque, les miniatures servaient d’échantillons, les gammes de bains étaient fantastiques, les lancements raisonnés et significatifs. Entrer dans une parfumerie n’était pas un acte banal. Les parfums d’ailleurs n’étaient pas à ce point entrés dans les mœurs comme l acte final d’une routine hygiénique. Ils avaient encore prestige, mystère, séduction...
A cette époque, on ne parlait pas avec dédain du mainstream, c’était toujours du luxe.